article L211-1 :
«les terrains, exploités ou non, habituellement inondés ou gorgés d'eau douce, salée ou saumâtre de façon permanente ou temporaire ; la végétation, quand elle existe, y est dominée par des plantes hygrophiles pendant au moins une partie de l'année ».
Précision de la définition « loi sur l'eau » des zones humides : Article R211-108 du C.E. Précise que les critères à retenir pour la définition des zones humides sont relatifs à la morphologie des sols liées à la présence prolongée d'eau d'origine naturelle et à la présence éventuelle de plantes hygrophiles. La délimitation est effectuée à l'aide de cotes de crue ou de niveau phréatique.
Selon le code de l’environnement :
Rubrique 3.3.1.0 : Tous les travaux d’assèchement, de mise en eau, d’imperméabilisation, de remblais de zones humides ou de marais sont concernés.
Rubrique 3.3.2.0 : Réalisation de réseaux de drainage permettant le drainage d’une superficie :
Selon la Directive Nitrate :
Le remblaiement et le drainage des zones humides (bas-fonds et bords de cours d’eau…), y compris par fossé drainant, sont interdits quelques soit la surface.